Jean-Paul approuva sa proposition tout en l’appelant « chef ». Il était vrai que c’était leur accord, Samia était le chef à la maison et son mari l’était au travail et ça marchait très bien ainsi.

- J’adore quand tu m’appelles « chef »

Il était vrai qu’ils avaient énormément de chance d’avoir un ami comme Jean-François pour qui leur amitié était aussi importante.

- C’est pour ça que c’est le parrain idéal pour notre fille c’est aussi un moyen de l’inclure dans notre famille et pour lui montrer que pour nous aussi il est important.

Ils s’étaient ensuite mit à discuter du quiproquo qu’il y avait eu à un moment donné sur la relation de Jean-Paul et Mélanie. Mais selon Jean-Paul ce n’était de toute manière pas possible vu qu’il sortait d’une rupture et puis elle lui manquait.

- Le fait de sortir d’une rupture ça ne veut rien dire au contraire. On peut très bien sortir avec quelqu’un pour se consoler et faire une sorte de transition. Je te manquais au bout d’une semaine c’est mignon surtout que j’aurai plutôt pensé le contraire.

Elle le laissa ensuite lui caresser les cheveux alors qu’elle le déshabillait en l’embrassant. Elle le regarda alors aller chercher un pot de miel dans le placard et l’ouvrir avant de le déposer devant elle. Il lui demanda alors ce que cela lui inspirait.

- Du miel voyons qu’est-ce que ça pourrait m’inspirer ….

Elle décida de lui répondre de manière imagée. Elle mit un peu de miel sur un de ses doigts avant de le porter à la bouche de son mari d’une manière sexy.

Jean-Paul savait en effet que sa femme aimait quand il l’appelait « chef » et c’était pour cette raison qu’il ne se privait pas de l’appeler ainsi. Elle se contenta de lui sourire en guise de réponse puis elle lui répondit concernant leur amitié avec Jean-François.

- Oui qui aime bien châtie bien comme on dit mais faut faire attention à ne pas pousser le bouchon trop loin comme avec l’affaire Céline Frémont.

Il était vrai que Samia et Jean-Paul avaient mis du temps avant de se mettre ensembles et qu’ils auraient pu gagner du temps en s’avouant leurs sentiments plus tôt.

- Tu sais si ça s’est passé comme ça c’est parce que ça devait être ainsi et puis maintenant on est ensembles c’est ça qui compte.

Elle fit ensuite lécher son doigt avec du miel dessus à son mari et ce dernier semblait avoir apprécié.

- Contente que ça t’ais plu mon cher mari… Et tu sais ce qui serait bien c’est de la confiture aussi

- Ce qu’il lui manque à Jeff c’est la volonté car séduire une femme tout les quinze ans c’est pas beaucoup et ça c’est à cause de Babeth.

Ce n’était un secret pour personne Jean-François avait eu beaucoup de mal à se remettre de son divorce et au retour de Babeth au mistral il avait même essayé de se remettre avec elle en vain. Samia avait ensuite dit à son mari que leur histoire devait surement se passer ainsi et que ce qui comptait surtout c’est qu’ils étaient ensembles maintenant mais Jean-Paul s’en voulait tout de même de ne pas lui avoir déclaré son amour plus tôt.

- Tu sais chéri si tu veux tu peux me dire que tu m’aimes maintenant pour compenser.

Elle lui avait ensuite proposé de prendre aussi de la confiture et il s’exécuta après lui avoir dit qu’ils risquaient de gaspiller toute la nourriture.

- Au pire on rachètera ce qui manque quand on ira faire les courses…Et puis ça en vaut la peine sans compter le fait qu’avec tout l’exercice qu’on fait depuis ce matin on brûle tout.

Elle regarda alors son mari ouvrir le pot de confiture avant d’en mettre sur une cuillère pour lui en mettre sur une de ses mains pour ensuite la lécher. Elle le laissa faire et avec son autre main, elle prit un peu de miel avec la cuillère et en mis sur un des bras de son mari avant de le lécher aussi.

- C’est vrai mais tu sais bien qu’être autoritaire n’est pas dans le tempérament de Jean-François. Je crois qu’on ne pourra pas le changer mais peut être pourrait-il en parler aux jumelles directement. Après tout si elles veulent aller chez leur père plus souvent Babeth et Patrick ne pourront rien dire.

Les jumelles avaient en effet 17 ans même bientôt dix-huit alors ce n’était plus des enfants. Elles pouvaient donc choisir de passer plus de temps avec leur père.

Jean-Paul lui assura ensuite qu’il pouvait même lui dire qu’il l’aimait dans plusieurs langues différentes. Il était vrai que maintenant avec l’avènement des médias c’était plutôt facile. Elle lui souria tout en lui répondant :

- Je vois mon mari est bilingue en fait

C’était en effet des préliminaires inédits pour le couple qui vu qu’Abdel avait vécu avec eux jusqu’à présent avaient évité de faire l’amour dans les pièces de vie commune. Bien sûre ils l’avaient déjà fait dans le salon c’était même là qu’ils l’avaient fait pour la première fois.

Samia avait dit à son epoux de ne pas s’inquiéter pour la nourriture car ils pourraient toujours racheter ce qui manque quand ils retourneraient faire des courses et que de toute façon ils avaient déjà brûlé beaucoup de calories depuis le matin. Elle se contenta donc de lui répondre par un sourire quand il lui répondit qu’elle avait raison.

Les deux amoureux avaient commencé à se lécher avec du miel et de la confiture. Après que Samia ait terminé de lécher le bras de son mari, ce dernier lui enleva son haut ainsi que son soutient gorge pour lui mettre un peu de confiture sur sa poitrine. Elle le laissa faire bien entendu puis elle lui souria alors qu’il venait de lui dire que ça avait l’air apetissant.

- J’espère que ça le sera vraiment alors

Elle lui fit un petit sourire coquin et comme elle ne pouvait pas faire grand-chose vu qu’il avait commencé à s’occuper de sa poitrine, elle se contenta de lui enlever le dernier bout de vêtement qu’il portait sur lui qui était son caleçon.

- Je trouve ça bizarre qu’elle ne l’ait pas déjà fait parce qu’elles n’ont pas l’air si coincé que ça pourtant. Moi je sais qu’à leur place j’aurai déjà émis le souhait de passer plus de temps avec mon père et si ma mère et mon beau-père avaient refusé ça ne m’aurait pas empêché.

Etant adolescente Samia n’avait jamais eu froid aux yeux. Ses parents avaient eu du soucis à se faire avec elle et c’était pour ça qu’ils avaient voulu la marier en Algérie alors qu’elle était encore mineur.

Jean-Paul lui prouva ensuite qu’il était bilingue en lui disant qu’il l’aimait en plusieurs langues différentes.

- Waou eh bien félicitations monsieur Boher parce que vous venez de décrocher votre diplôme de langues étrangères avec mention très bien.

Elle l’embrassa puis elle se contenta de lui sourire quand il déclara qu’il n’avait plus qu’a goûté la confiture qu’il avait mis sur sa poitrine. Elle le laissa faire et prit bien sûre beaucoup de plaisir dans ses préliminaires plus qu’intéressants. Dans sa posture elle ne pouvait pas faire grand-chose mais elle lui enleva tout de même son caleçon. Après qu’elle eut fait cela son mari lui rappela qu’elle avait toujours le miel à sa disposition et ça bien sûre la belle ne l’avait pas oublié.

- Oh ne t’inquiètes pas je n’ai pas oublié, je l’utiliserai a bon escient quand tu auras terminé

- D'après ce que Jeff m'en dit , Léa a l'air plus réservée qu’Émilie , et puis il me semble que pour l'instant , après le clash qu'elle lui a infligé avec Cristal , c'est Léa qui préfère Jeff tandis qu’Émilie préfère Patrick . Je ne pense pas que Babeth soit contre en plus . Ni lui .

Jean-Paul était au courant de cela et c'était aussi ce pourquoi il n'appréciait pas tant Ahmed que ça au début . Mais ça c'était rapidement arrangé .

Quand Samia , heureuse , la félicita en lui donnant oralement un diplôme bilingue .

- Et ma langue physique , quels diplômes mérite t-elle ?

Voilà une question bien indécente . Qu'allait-elle répondre à cela ?
Jean-Paul était à nouveau mis à nu par sa petite femme , mais ne pouvait pas faire grand chose d'autre tant qu'il lui léchait les seins .

- Mmh , et à quoi tu penses ? Tu peux me montrer ?

Il stoppe ses caresses , mais pour l'instant , rien que pour avoir un aperçu .

- Lea a bien su s’imposer concernant son histoire d’amour alors ça prouve que quand elle veut elle est capable de s’imposer.

Samia pensait que si Lea voulait absolument voir son père plus souvent elle le ferait savoir et les choses pourraient avancer.

Après que Jean-Paul ait dit à sa femme qu’il l’aimait en plusieurs langues différentes, Samia lui assura qu’il venait de décrocher son diplôme de langues étrangères avec mention très bien. C’est là que Jean-Paul lui demanda quel diplôme méritait sa langue physique.

- Eh bien ta langue physique elle est plutôt spécialisée dans les travaux pratiques.

Samia dont les mouvements étaient un peu limités pour le moment enleva tout de même son caleçon à son mari. C’était loin d’être la première fois qu’elle le déshabillait mais ce n’était pas pour autant qu’il ne lui faisait plus d’effet. Même si ça faisait presque 3 ans qu’ils étaient ensembles et donc qu’ils faisaient l’amour ensembles elle ne trouvait pas du tout qu’ils étaient dans la routine. Elle trouvait au contraire qu’ils s’entendaient toujours aussi bien sexuellement et puis ils n’étaient pas à court d’idées pour pimenter les choses.

Concernant le miel, Samia rassura son époux en lui disant qu’elle n’avait pas oublié qu’elle avait le miel à sa disposition. Elle lui avoua qu’elle l’utilisera à bon escient dès que possible. C’est alors qu’il arrêta ce qu’il était en train de faire avant de lui demander de lui montrer à quoi elle pensait.

- D’accord tes désirs sont des ordres mon cœur

Elle lui souria puis elle lui mit délicatement du miel sur sa partie intime avant de lui faire ce qu’on pourrait appeler une pipe au miel

- Oui tu as raison mais un père aussi c’est important sans lui elle ne serait pas là.

Depuis qu’elle était enceinte, Samia comprenait mieux la souffrance que devait éprouver leur ami en faisant pas parti de la vie de ses filles comme il le voudrait. En plus il voyait un autre homme assumer le rôle qui était le sien.

Samia souria ensuite à son mari quand ce dernier lui demanda de confirmer si sa propre langue comme la sienne était plutôt spécialisée dans les travaux pratiques.

- Oh tu sais moi l’école ça n’a jamais été mon lieu préféré quand j’étais plus jeune et puis ma langue a beaucoup appris avec la tienne aussi.

Samia s’était ensuite occupé du plaisir de son époux en lui faisant pour la première fois une gâterie en utilisant du miel. Il était vrai que ça collait alors heureusement que Jean-Paul était là pour l’aider. C’était certe différent mais ce n’était pas désagréable même pour Samia.

- Tu sais que je suis d’accord avec toi chéri mais si j’étais toi j’éviterai de monter trop la tête à Jeff avec tout ça car s’il pose un ultimatum à ses filles à mon avis il pourrait être déçu du résultat.

En effet comme ils l’avaient souligné Patrick occupait une place qui n’était pas la sienne et il était celui qui a élevé les jumelles avec Babeth.
Samia avait ensuite dit à son époux que l’école n’avait pas été son endroit préféré et que sa langue avait beaucoup apprit avec la sienne. Jean-Paul lui avait alors répondu que même s’il en parlait peu il n’avait pas été très sage à l’école.

-Ah oui ? Et pas très sage ça veut dire que tu n’avais pas de bonnes notes ou que tu séchais les cours ?
Tant mieux je me languis de voir ça monsieur Boher.

Elle continua ensuite ce qu’elle avait entreprit avec beaucoup de soin sans oublier aucun endroit ou elle avait mis du miel. Et vu que son mari semblait apprécier elle y alla tout en douceur pour faire durer le plaisir le plus possible. Une fois tout cela terminé, elle se redressa tout en disant :

-J’espère que tu as aimé ça autant que moi

-En même ce n'est même pas la peine d'essayer parce que , même en douceur , il n'abordera jamais le sujet , ni à ses filles , ni à Babeth et encore moins à Patrick . Par contre si ça venait de l'un d'eux , peut-être que ça lui ferait plaisir . Lui , il n'osera jamais .

Et ça pouvait se comprendre . Il avait peur de perdre à nouveau ses filles qu'il venait à peine de retrouver .


- Disons que je n'ai pas eu que des bonnes notes ...Mais comme tout le monde .Tu m'attends au tournant ? Tu ne vas pas être déçue ...

Ses caresses pleines de miel finirent par s'achever par une salve , d'autre chose ...


- Ah parce que ça ne s'est pas vu ?

Lui demande t-il coquinement .

- Faut se méfier de l’eau qui dort chéri moi je pense qu’il pourrait très bien leur claquer leurs quatre vérité s’il est à bout.

Samia écouta ensuite son mari s’expliquer sur le fait qu’il n’avait pas été si irréprochable que ça à l’école.

- Connaissant ta mère ça ne devait pas lui plaire ça

Jean-Paul ajouta alors que si elle l’attendait au tournant elle n’allait pas être déçue et elle savait qu’il disait vrai car elle connaissait ses compétences à ce niveau-là.

- Vu tes capacités je te fais confiance

Après avoir terminé la gâterie emmiellée qu’elle avait offerte à son époux, Samia lui avait dit qu’elle espérait qu’il l’avait autant apprécié autant qu’elle. Il lui demanda ensuite d’une manière coquine si ça ne s’était pas vu.

- Bien sûre que ça s’est vu, il y a des choses que tu ne peux pas me cacher mon cœur mais j’aime bien quand tu me le dis aussi comme toi tu aimes bien que je te dise que j’ai pris mon pied avec toi après qu’on ait fait l’amour.

- Il suffit qu’il dise les choses avec fermeté et détermination. D’ailleurs je pense que s’il s’était comporté ainsi à l’époque Babeth ne serait peut-être pas partie avec Patrick.

Jean-Paul avait ensuite avoué à son épouse qu’il n’avait pas toujours été irréprochable dans ses résultats scolaires. Samia avait alors évoqué sa belle-mère en disant que cela n’avait pas dû lui plaire et elle avait raison.

- Mon pauvre chéri en plus tu ne pouvais pas compter sur ton père pour te défendre auprès de ta mère.

Philipe ne s’opposait pas à Andrée pour avoir la paix et ça ils le savaient tous les deux.

Sexuellement comme dans les autres domaines Samia faisait confiance à son mari. Elle savait que dans leur vie intime ils n’avaient jamais eu de problème et puis elle prenait à chaque fois beaucoup de plaisir avec lui.

Il ne tarda pas à s’occuper à son tour de son sexe en le caressant lentement. La belle ne se priva pas de pousser des petits gémissements ce qui l'ammena a s’en occupa avec sa bouche ce qui la fit frissonner de plaisir.

-Oui après on ne peut pas en être sûre à 100 % mais c’est possible.

Ils avaient ensuite évoqué le père de Jean-Paul qui selon son fils commençait à tenir tête à son mère.

-Moi je trouve qu’elle le tient encore bien en laisse mais le problème avec ton père c’est qu’il intériorise et après il fait n’importe quoi d’où ses soirées avec Jean-François, son histoire avec Nabila et peut être d’autres choses qu’on ignore.

Elle avait ensuite commencé à reprendre du plaisir avec son époux et elle lui avait fait sentir en gémissant mais ce n’était encore rien comparé à ce qu’il lui fit ensuite en introduisant deux doigts en elle en faisant des va et vient. Elle se mit alors à gémir plus fort et même a pousser des petits cris de plaisir.

Jean-Paul et Samia avaient évoqué la manière dont Jean-François et Philipe se comportaient et s’étaient comporté avec leur femme.

-En fait Jean-François et ton père ont tous les deux manqué de personnalité face à leurs femmes c’est pour ça qu’ils s’entendent aussi bien mais je ne dirai pas qu’ils ont une bonne influence l’un sur l’autre.

Samia ne pouvait cacher à quel point son mari lui faisait du bien et elle avait bien sûre envie d’aller plus loin alors elle l’embrassa langoureusement avant de lui murmurer à l’oreille.

- Fais-moi l’amour Jean-Paul

- C'est sûre que Jean-François est un mec sérieux et s'il avait eu envie de coucher avec une de ces danseuses il aurait pu car contrairement à ton père il est libre.

Philipe était en effet marié contrairement à Jean-François qui lui pouvait faire ce qu'il voulait avec qui il voulait. Samia avait ensuite dit à son mari qu'elle était prête à ce qu'ils aillent plus loin tous les deux .Elle le laissa la guider jusqu'au canapé ou il s'assit. Elle comprit alors que c'est elle qui allait "conduire" et ça ne la dérangeait pas. Elle était toujours partante pour essayer de nouvelles choses.

- Je vois tu me fais confiance pour conduire, tu n'as pas peur des excès de vitesse ?

Elle lui dit cela d'une manière taquine en faisant référence à la fois ou elle lui avait piqué sa voiture et ou elle s'était fait flashée. Puis elle s'installa sur lui avant de l'embrasser.